D'UNE SIMPLICITE BOULEVERSANTE

Publié le par Igliros




Il existe, grosso modo, quatre types de films. Les films qui laissent indifférents, qu'ils soient sympas ou complètement nuls ; les films qui font rire aux éclats ; les films qui glacent au sang ; et les films qui touchent au plus profond de l'âme. C'est de cette dernière catégorie que sort "Je vais bien, ne t'en fais pas". Un scénario tout simple, mais qui émeut sans retenu. Des acteurs qui véhiculent une sensation de tristesse infinie, sans jamais faire faux pas. Une bande originale sensationnelle. Une fin plus qu'inattendue. Un film fantastique, beau, émouvant… Un film dont on ressort les yeux aux larmes, se disant qu'on aimerait plus souvent être ainsi touché. Bravo à Philipe Lioret, et aux acteurs. Et merci de nous faire rêver.


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F
slt je t mi +5 fé de mm
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